LA VOIX INDEPENDANTE DU PEUPLE (VIP), LA DIFFERENCE !

Le pouvoir illégitime de Kinshasa en perte de vitesse s'emploie actuellement à user de la force disproportionnée et exagérée pour mater la population congolaise. La force est devenue leur seul argument !  Personne n'y échappe : Hommes, femmes et enfants !   La Voix Indépendante du Peuple, notre parti s'élève contre cette barbarie éhontée et dénonce ce génocide au Congo qui ne dit pas son nom ; ces tueries, ces viols, ces executions sommaires sans aucun jugement et toutes ces arrestations arbitraires.   Nous disons : la vie humaine est sacrée !  Arrêtez donc toutes ces violations massives des droits fondamentaux et humains.   Notre pays, la République Démocratique du Congo a toujours été une terre d'hospitalité et de paix. Elle n’a pas besoin que le sang de ses filles et fils continue à couler comme cela se passe actuellement dans notre beau pays ! Ce flot de sang crie vengeance !  Aussi, la Voix Indépendante du Peuple tient à rappeler q

Le manque de volonté politique entrave un développement sérieux de notre pays. Le peuple fonde de grands espoirs sur les petits projets devenus aujourd’hui la signature des Kabilistes. Nous dénonçons ce manque de "volonté politique » et encore plus l’evolution des petits dons qu’on appelait jadis « MADESU YA BANA ». Aujourd’hui, la corruption a évolué au niveau suprême où les anciens Kabilistes sillonnent les villes de l’Europe et de l'Amérique pour se taper les plus grands lobbyistes, les combattants et les leaders des partis politiques.

Le Congo, notre beau pays est malade. Et le peuple souffre. Il est temps que ce peuple se réveille. Le Congo a besoin d’un peuple debout et qui marche sans crainte; un peuple conscient et responsable. Seul un peuple debout est capable de réaliser de grandes choses. En effet, cette notion de la conscience collective est liée à la morale qui est un ensemble de principes de jugement, de règles de conduites relatives au bien et au mal, de devoirs, de valeurs. Ces principes varient selon la culture, les croyances, les conditions de vie et les besoins de la société. Ces principes constituent le socle de la société. La conscience est en soi une perception chez l’homme de sa propre existence et du monde qui l’entoure. L’homme doit prendre conscience de sa dépendance par rapport à la société. Henri Bergson écrivait : la conscience est un trait d’union entre ce qui a été et ce qui sera, un pont jeté entre le passé et l’avenir. Au Congo, les partis politiques sont devenus des béquilles du pouvoi