VIP: SOYONS LE CHANGEMENT QUE NOUS VOULONS POUR LE CONGO.

Si tout se faisait selon la Constitution du pays, si tout était planifié, coordonné et fait selon les règles de l’art; c.-à-d., en respectant un ensemble de bonnes règles pour établir, exécuter d’une manière méthodique, et conformément aux prescriptions légales, dans le seul intérêt du pays, nous n’allions pas vivre ce que nous vivons aujourd’hui : TOURNER EN ROND pour ne rien produire de bon.
Non seulement on perd l’argent des contribuables, mais on perd le temps et on ne gère plus le pays. On se focalise sur des stratagèmes qui n’ont pour but que de distraire le peuple congolais et de perpétuer le système avilissant qui a échoué lamentablement.
Le Congo a besoin d’une nouvelle classe politique, des hommes et femmes qui aiment vraiment ce pays et qui sont qualifiés à prendre en mains le destin de notre cher et beau pays. Non seulement, ils doivent être intègres, mais aussi motivés et prêts à servir plutôt que de se servir comme on en a la mauvaise habitude au Congo.
En servant la nation, nous devons apprendre à nous effacer en pensant à l’avenir de nos enfants; c.-à-d., œuvrer pour le futur.

Il est temps que nous prenions tous conscience de la réalité du Congo et chacun en ce qui le concerne, s’engage à contribuer tant soit peu, et dans son rayon d’action, à la l’édification d’un État de droit au Congo.
Nous vivons dans un monde devenu tout petit par la mondialisation. Nous devons améliorer la qualité de vie de notre peuple à l’instar des autres grandes nations. Le Congo en a la capacité. Il faut juste de la volonté pour affronter ce défi.
Nous devons tous comprendre que le Congo est un patrimoine commun. Cela veut dire que tout citoyen, toute citoyenne de ce pays a le droit, tout à fait légitime par ailleurs, de s’investir pour notre mère-patrie.
Nous ne luttons pas contre le passé. Nous luttons pour l’avenir. Et pour bien faire les choses, il ne suffit pas de panser les plaies, il faut changer les pièces défectueuses ; c.-à-d., ces hommes et femmes qui ont échoué.
Le changement commence dans nos têtes. C’est de l’intérieur que nous saurons puiser nos énergies positives.
Comme disait Gandhi : SOYONS LE CHANGEMENT QUE NOUS VOULONS DANS LE MONDE. Et spécialement pour notre pays.
Et de conclure par cette désormais très célèbre citation du Président John Fitzgerald Kennedy : 
NE DEMANDEZ PAS CE QUE VOTRE PAYS PEUT FAIRE POUR VOUS. DEMANDEZ CE QUE VOUS POUVEZ FAIRE POUR VOTRE PAYS.

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