LA VOIX INDEPENDANTE DU PEUPLE (VIP), LA DIFFERENCE !

L’avenir de la nation est entre nos mains. Ce matin, je lisais un livre de Virginie Luc, grand reporter français : Impossible n’est pas français, et soudain j’ai pensé au Congo, mon pays. Le Congo a besoin de vrais capitaines, des leaders capables d’éveiller les consciences endormies et de guider la masse. Chaque fille, chaque fils du pays peut écrire une part de l’histoire de notre nation. Et c’est mon vœu ardent : donner à chacun la chance de participer à l’édification d’une grande nation dans ce monde devenu tout petit par la mondialisation. Et comme écrivait Roland Barthes :  “Ecrire, c'est ébranler le sens du monde, y disposer une interrogation indirecte, à laquelle l'écrivain, par un dernier suspens, s'abstient de répondre. La réponse, c'est chacun de nous qui la donne, y apportant son histoire, son langage, sa liberté.” Mon credo : PRÊTER L’OREILLE, ECOUTER ET PARTAGER. Ma petite pensée : Laissons libre cours à l’imagination. Nous de

Dans notre cher pays, les hommes politiques avaient toujours raison et le peuple ne devait que les suivre… Aveuglement. Enfin de réaliser de grands chefs d’œuvres pour notre pays, nous devons d’abord nous débarrasser des vieilles habitudes qui ont fait que nous soyons devenus des béni-oui-oui, sans lucidité. Nous devons donc dominer la déchéance et relever nos têtes afin d’affronter les défis qui dressent devant nous. Et cela commence par nous débarrasser de ceux qui ont conduit notre cher pays dans la boue. Personne n’est éternel et personne n’est irremplaçable. Nous devons avoir la fureur de vaincre… Vaincre surtout la peur. Nous devons ouvrir nos yeux et regarder les choses en face; qu’importe l’équation de l’inconnu. Demain sera fait de ce que nous aurons tous ensemble accomplis aujourd’hui. Que tous ces hommes politiques qui cherchent à amadouer notre peuple aujourd’hui soient placés, chacun, devant ses responsabilités passées. Qui a fait quoi et qui est qui ? Les séd

Choisir est un choix. Ne pas choisir est aussi un choix. Les hommes politiques sont souvent les fruits de ce que nous avons produit dans la société. Ils sont à l’image de celle-ci. K.O. Schmidt disait : Ce ne sont pas les choses extérieures et les circonstances qu'il faut changer en premier lieu, mais ton attitude intérieure. Lorsque la transformation intérieure est accomplie, la transformation extérieure suit d'elle-même (Fin de citation). Le Congo, notre cher pays, va mal et nous en sommes tous responsables en tant que communauté; une société. Aucune société ne peut produire du progrès si elle n’y est pas préparée d’avance. Le changement est une résultante d’un processus. Nous avons connu des tribulations dans le passé. Notre peuple a longtemps souffert. Jusqu’à quand continuera-t-il encore à panser ses plaies ? « Nos épreuves contribuent toujours à notre développement lorsque nous les regardons comme des opportunités de corriger les erreurs du passé ou d’acquérir sag

Par l’éducation, le citoyen s’instruit.  Ainsi, il devient capable de penser par lui-même et d’assumer sa liberté, tant mentale, matérielle, que financière. ET DES ENFANTS BIEN INSTRUITS SONT L'AVENIR DE DEMAIN. Ils ont droit à une certaine dignité humaine.  Voilà pourquoi nous nous battons. Que chaque enfant ait droit à une meilleure éducation pour que demain il puisse participer activement au développement du pays. PLUS JAMAIS CETTE IMAGE ! NOUS VOULONS UN VRAI CHANGEMENT.

La voix indépendante du peuple estime qu'un pays aussi riche que le Congo ne devrait pas connaitre le niveau de pauvreté de la population qui est le sien. Alors que la classe politique actuelle au pouvoir au pays sabre le champagne, le peuple souffre !   Et dire que tous ces politiciens qui roulent carrosse au Congo, insouciants de la misère du peuple, veulent pérenniser le pouvoir actuel. Selon le Programme Alimentaire Mondiale (PAM), publié le 20 janvier 2015, v oici dix faits et chiffres à connaitre pour comprendre la situation alimentaire en République Démocratique du Congo. Près de la moitié des enfants de moins de 5 ans souffrent de retard de croissance 23% des enfants de moins de 5 ans et 14% des femmes sont sous-alimentés 2.7 millions de personnes sont déplacées à l'intérieur du pays à cause des conflits en RDC. Il y a 120.000 réfugiés en RDC à cause des conflits dans la région 3 millions d'enfants de moins de 5 ans souffrent de malnutrition aiguë

Chers frères et sœurs, Chaque jour qui passe apporte son lot de questionnements par rapport au futur de notre chère nation : le Congo.  La souffrance de notre peuple a atteint le paroxysme. Comment sommes-nous arrivés à ce point ? Comment un pays si riche, avec un peuple aussi dynamique a pu trébucher et porte aujourd’hui les plaies aussi béates et dont  les cicatrices prendront le temps de disparaître? L’heure est venue pour que nous fassions appel à la raison. Nous devons permettre à celle-ci de s’éveiller en nous. Nous devons sortir du sommeil dans lequel nos leaders politiques nous ont plongés. Il est temps que nous puissions reconstruire l’espérance en nous et reprenions à rêver. La plus grande richesse du Congo c’est son peuple. Un peuple éveillé peut déplacer des montagnes ! Nous devons nous affranchir de nos vieilles habitudes et par ricochet, de ces leaders qui ont pris en otage notre peuple; qui ont détruit notre confiance collective et appauvris notre sens du devoir. Ils

Si tout se faisait selon la Constitution du pays, si tout était planifié, coordonné et fait selon les règles de l’art; c.-à-d., en respectant un ensemble de bonnes règles pour établir, exécuter d’une manière méthodique, et conformément aux prescriptions légales, dans le seul intérêt du pays, nous n’allions pas vivre ce que nous vivons aujourd’hui : TOURNER EN ROND pour ne rien produire de bon. Non seulement on perd l’argen t des contribuables, mais on perd le temps et on ne gère plus le pays. On se focalise sur des stratagèmes qui n’ont pour but que de distraire le peuple congolais et de perpétuer le système avilissant qui a échoué lamentablement. Le Congo a besoin d’une nouvelle classe politique, des hommes et femmes qui aiment vraiment ce pays et qui sont qualifiés à prendre en mains le destin de notre cher et beau pays. Non seulement, ils doivent être intègres, mais aussi motivés et prêts à servir plutôt que de se servir comme on en a la mauvaise habitude au Congo. En serv

Alors que le peuple souffre, certains hommes politiques au Congo continuent à entretenir la confusion. Ils sabrent le champagne dans leurs grosses villas et espèrent prendre demain les rênes du pays. comme qui dirait : « Déshabiller saint Pierre pour habiller saint Paul ». Nous disons, NON ! C'est assez ! Ces affameurs du peuple manipulent nos frères et sœurs et les poussent à ne plus réfléchir comme souverain primaire; donc comme la source du pouvoir. Ils veulent faire de notre peuple des moutons de Panurge; un troupeau de moutons qui, lorsque la tête du troupeau change de direction, les autres suivent bêtement. La différence entre eux et nous, c’est que nous, nous sommes des hommes et femmes intègres, avec des idées novatrices et de grandes ambitions pour notre pays et nous ne sommes pas corrompus. Nous voulons être les bâtisseurs de demain. Et c’est avec le peuple que nous le ferons. Eddy Dishueme Bangudi Président National de la VIP

Il est temps que nous dépassions l’intégrisme au sein de nos partis politiques . Ce n’est pas parce que quelqu’un ne pense pas comme vous ou n’adhère pas à vos idées qu’il devient votre ennemi; un Satan. Nous devons éviter de produire des discours teintés de clichés, parfois tribaux qui nuisent à notre lutte commune; l’instauration d’un État de droit au Congo. Notre cause est juste, quitte à chacun de nous de cibler le  mal et de mettre la main à la pâte.  Nous savons qui sont les fossoyeurs de la république et nous devons les combattre de façon efficace et arrêter de nous lancer des pierres; de nous entre-déchirer pour rien. Arrêtons toutes ces campagnes de haine, toutes ces injures qui ne nous honorent pas. Il est temps que nous réveillions les consciences endormies, afin que notre peuple ne se trompe pas d’ennemis. Ceux qui ont détruit notre pays, paupérisé notre peuple se présentent aujourd’hui comme de petits messies. Ils promettent ciel et terre au peuple ! Et pourtant, ils

Le Congo est à la croisée de chemin. Le temps change et les hommes changent aussi. Cela vaut tout autant pour les partis politiques au Congo.  Aujourd’hui , même l'UDPS semble perdue.  Le leader charismatique de ce parti, monsieur Etienne TSHISEKEDI wa MULUMBA est encore là, c’est vrai, mais très affaibli. La lutte de succession se joue en coulisses. Qui est qui et qui fait quoi ? Là est la question. Et quelle relève pour demain ? Entre-temps, certains membres de ce parti font des combines avec le pouvoir ou d'autres partis politiques satellitaires du régime et l’intérêt supérieur du peuple congolais n’est plus pris en compte ! Le navire coule et le peuple avec. Mais souvent en pareille circonstance, naissent certaines vocations. Et c’est le cas pour un de nos compatriotes bien installé aux États-Unis, en la personne d’Eddy BANGUDI DISHUEME. Il y a belle lurette qu'il a quitté le Congo, mais son cœur y resté. Soucieux de l'avenir de notre cher Congo,

Certains de nos compatriotes nous demandent: pourquoi créer un autre parti politique ? Pourquoi ne pas adhérer dans l’UDPS par exemple ?  Excellentes questions.  Mais voici notre réponse. Elle est toute simple : Le Congo, notre chère patrie est un immense territoire, un grand pays. Chaque citoyenne, chaque citoyen doit apporter sa petite pierre à l’édification d’un État de droit au Congo. Et pour le faire, tout le monde ne peut pas faire partie d’un seul parti, si grand soit-il. Nous avons notre vision et nous avons nos valeurs. Si nous voulons faire la différence, nous devons évoluer dans un cadre qui nous permettra de nous exprimer librement et de faire valoir nos connaissances, et surtout nos droits. Nous voulons un parti politique moderne, qui soit en lui-même une école de démocratie. La Voix Indépendante du Peuple se veut un carrefour du donner et du recevoir; un haut lieu d’émergence d’une nouvelle classe politique congolaise. Nous ne faisons pas de concurrence av